La garde des enfants et le droit de divorce

Droit de la garde des enfants

Le droit de la garde des enfants est l’un des aspects les plus importants du droit de divorce. Il couvre les droits et responsabilités des parents et des enfants concernant l’accès à l’enfant, la prise de décisions sur son éducation, sa santé et son bien-être général. La loi sur la garde des enfants énonce les principes qui guident le tribunal dans ses décisions concernant le partage des responsabilités parentales et le droit de visite.

Droit de la résidence principale et du droit de visite

Un tribunal peut ordonner un arrangement pour lequel un enfant vivra dans une maison principale avec un seul parent. La loi autorise un juge à désigner un parent comme «parent principal», ce qui signifie que cette personne aura la responsabilité principale des soins et du bien-être de l’enfant. Le juge peut également déterminer comment les parents peuvent partager les responsabilités parentales. Par exemple, il peut donner au parent principal une autorité exclusive sur certains types de questions telles que l’éducation ou la religion de l’enfant.

Si le tribunal décide que les parents doivent partager les responsabilités parentales, il peut également imposer des arrangements pour le droit de visite. Ces arrangements peuvent inclure une ordonnance régissant quand et comment le non-parent principal aura accès à l’enfant. Ces arrangements peuvent être modifiés si nécessaire pour refléter les besoins changeants des enfants.

Autres considérations

Dans certaines circonstances, un juge peut également nommer un tuteur ad litem pour représenter les intérêts légaux d’un enfant. Les avocats spécialisés dans le droit familial sont souvent appelés à servir dans ce rôle. Le tuteur ad litem est chargé d’enquêter sur les circonstances entourant la demande et de fournir au tribunal une recommandation concernant ce qui est dans l’intérêt supérieur de l’enfant.

De plus, une assistance financière pourrait être attribuée à l’un ou aux deux parents afin d’aider à couvrir les frais liés au soutien à l’enfance, tels que les frais médicaux ou scolaires. Les tribunaux ont généralement recours aux formules standardisées pour calculer cette assistance financière.